Je ne suis pas d’accord avec toi. Le mieux, pour l’imprimerie, pour éditer de longs documents, est d’utiliser un langage de composition fait exprÚs-pour.
Petit rappel. Au moment de la jonction entre l’informatique et la composition, lorsque l’on voulait interfacer les composeuses avec l’ordinateur, 4 voies principales ont été dressées :
Un langage de composition normalisé, pour éviter de se faire coincer par les différences entre marques : avorté.
Un langage de structuration sur le fond, par balises : SGML
Un langage de composition avancée : TeX
Le Wysiwyg : séduction immédiate, mais énormes inconvénients à l’usage.
Le Wysiwyg peremt d’apporter des choses que ne font/faisaint pas les autres, pour des documents courts, a l’aspect graphique important (plaquette 3 volets, affiche, etc.) mais n’est pas du tout adapté aux documents de plus de 10 pages. Pour cela, il faut soit le SGML, qui permet de s’affranchir du support (impression, web, CDrom...), soit TeX, ou plutot LaTeX qui offre un qualité de composition INCOMPARABLE avec les autres. D.Knuth était largement en avance sur son époque, trop sans doute...
Autrement dit, ce que tu apelles ’imprimerie’ dans alternative libre pour l’imprimerie n’est en fait que l’une de voie d’édition et de composition, ie. le Wysiwyg. Je reformule donc tes propos :
"Pour rivaliser ave les ténors de prépresse [WYSYWIG], il existe un logiciel [WYSIWIG] libre : Scribus."
Et j’ajoute :
"Pour le non wysiwyg, c’est à dire pour des documents longs, il y a LaTeX ! Avec TeXmacs, LyX, Kile..."
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